Un livre, un extrait… Requiem pour un fou de Stanislas Petrosky

Pour commencer, prenez :
Un prêtre exorciste agent du Sodalitium Pianum, les services secrets du Vatican.
Un curé qui a compris qu’il avait fait le voeu de célibat et non de chasteté.
Un homme d’Église qui manie la langue d’Audiard avec amour.
Un abbé qui vous confesse avec la délicatesse du Marginal de Jacques Deray.
Vous obtiendrez Requiem…

La rencontre de San-Antonio et de Don Camillo !

Quand je pense qu’il y a quatre ans tout le monde était CHARLIE pour sauver la liberté d’expression. Liberté d’expression, mon cul ouais ! Pour sauver peau de zob, pardonne-moi ce langage châtié, mais avouez qu’il y a de quoi se poser des questions sur la santé mentale de ses contemporains.

D’un côté, ils sont tous présents pour sauver cette liberté d’expression, que oui, on peut rire de tout, qu’il faut rire de tout, puis les mois passent doucement, et d’un coup, on se prend de dénoncer celui ou celle qui sort une vanne un peu hors des clous, on lapide, on lynche comme ça, parce que l’on perd son sens de l’humour, que l’on rit de choses qui peuvent choquer, et c’est une honte !



Catégories :Un livre, un extrait...

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2 réponses

  1. C’est assez vrai ce qu’il dit, le monsieur (ou la dame…)

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