
Ici, le protagoniste principal est le smartphone fraîchement offert pour les fêtes de à Victor, qui confie peu à peu toute sa vie à son nouveau joujou, va rapidement sombrer dans une obscure affaire de chantage où sa maîtresse, trouve la mort. Accident ou meurtre ? Victime ou coupable ?
Une lecture rapide, pour une intrigue qui au-delà du sujet, qui peut faire sourire, met l’accent sur l’intelligence artificielle et ses possibles travers.
Ce smartphone prend vie et nous raconte comment il influence la vie de Victor. Si au départ, l’utilité est indéniable, Victor ne pourra plus se passer des choix que lui propose son téléphone.
La plume de l’auteur est agréable, concise, l’intrigue est bien ficelée et amène le lecteur à réfléchir sur sa propre utilisation de cet outil devenu un prolongement de notre quotidien. On y trouve tout, que cela de manière consciente et inconsciente.
Ce téléphone intelligent prend de plus en plus place dans notre quotidien, sans que l’on s’en rende compte. C’est devenu un vrai sujet qui déclenche autant l’inquiétude qu’il fait rêver.
L’utilisation du smartphone comme narrateur, est déroutante au départ, mais on s’y fait rapidement, surtout quand celui-ci aime démontrer sa supériorité et sa capacité à manipuler, aussi bien Victor que les événements.
Et si votre smartphone, à votre insu, se mettait à écrire son journal ? Vous découvririez alors qu’il connaît tout, absolument tout, de votre vie. C’est ce qui arrive à Victor Riabine, jeune et ambitieux chef de cabinet du ministre de l’Économie et des Finances. Promis à un bel avenir et ardent défenseur du libéralisme et des géants du net, ce dernier se trouve soudain pris dans une obscure affaire de chantage où sa jeune maîtresse, Nadia, trouve la mort. Accident ou meurtre ? Victime ou coupable ? Son smartphone, qui a tout enregistré, croit tenir la réponse. Mais la vérité s’avère bien plus terrifiante qu’il n’y paraît… Un roman noir saisissant sur les dangers qui menacent nos libertés à l’heure de l’économie numérique.
Parution : 10 avril 2019 – Autoédition – Pages : 128 – Genre : thriller, polar, intelligence artificielle, roman noir

Rick Fapatello, né en 1960, après avoir longtemps vécu à l’étranger, gère un domaine viticole en Vaucluse.
Un poison si doux est son deuxième roman.
Catégories :Challenge de l'imaginaire, Challenge Polars et Thrillers, Romans noirs, Thrillers/Polars
Je crois que ça me plairait !
Bonne journée, Julie.
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C’est franchement sympa et ça change un peu 😉
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Sûr que ces petits objets nous rendent accro…
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Moi la première 😉 C’est mon mini ordi!
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Original comme choix de narration ! Difficile de s’en passer de ce petit gadget, voire impossible maintenant ! 😅
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Oui très original ! Oui très difficile 🤣
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J’aime bien l’idée du smartphone qui prend le lead de la narration même si je conçois que ça doit être déroutant. Est-ce que ça n’atténue pas trop le propos par contre? A savoir que l’homme conçoit lui-même des machines pour s’aliéner, là avec ce point de vue on place la machine comme décisionnaire de cette prise de position…
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Au contraire j’ai trouvé ça très intéressant et crédible…
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