
Cette lecture m’a embarquée pour quelques pages vers une chronique sur la banlieue et sur la place des immigrés…
Je dois dire que cela a été une lecture assez atypique, et même si j’ai apprécié les points de vue, j’ai également, parfois, été agacée par les répétitions de certaines situations, au point que cela devenait lassant, malgré ses 240 pages.
J’ai toutefois trouvé, le point de vue de l’auteur et son regard sur les banlieues très intéressant, ainsi que sa perception de l’enfermement tout en étant libre, très pertinent.
Un hommage riche d’enseignement aux parents de l’auteur.
Parution : 1er mars 2018 – Éditeur : Pocket – Pages : 240 – Genre : social, immigration, tranche de vie, autobiographie,
Nos rêves de pauvres, c’est d’abord l’histoire de la famille Dendoune. Une histoire qui commence en 1950, quand le papa, berger kabyle, débarque seul en région parisienne le ventre vide, mais des envies de bosser plein les mains et le cœur rempli d’ambitions pour tous les siens. Une histoire qui se prolonge dans une cité HLM de l’Île-Saint-Denis, où la maman se bat pour que ses neuf enfants ne manquent de rien. Les petits Dendoune grandissent et leurs rêves aussi. Nadir, le plus jeune, rêve de trains électriques, de cours de tennis, mais aussi d’une police pour tous… Pas simple d’avoir des rêves de riches quand on a une vie de pauvres.
Nadir Dendoune raconte ses parents, leur courage, leur amour, mais aussi leur culture.
Cette culture de pauvres à laquelle il est si attaché.
L’histoire du clan Dendoune, c’est une histoire universelle, une histoire française.
Catégories :Contemporain, Pocket

Les avis de MyrlitBooks : 13 à table ! 2024 – Collectif d’auteurs
L’Âme du monde de Frédéric LENOIR
Dommage pour les longueurs mais le thème est intéressant. Et je dois dire que je n’ai jamais rien lu dessus.
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Oui le thème est d’actualité depuis quelques années déjà et sauf à être confronté directement, je ne pense pas que l’on aille vers ce type de lecture.
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ça m’aurait intéressée, mais si tu as ressenti de la lassitude malgré la brièveté du livre, je pense que je vais passer mon tour.
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Si tu veux une chronique sociale sur les banlieues, malheureusement, ce n’est pas vers lui qu’il faut que tu ailles. Les redondances sont exaspérante au bout d’un moment… La discrétion de Faïza Guène dot tu peux lire mon avis, est beaucoup mieux écrit et aborde différemment l’exil et la place de la génération née en France 😉
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Merci, je le note 😉
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Avec plaisir 😉
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