C’est lundi, que lisez-vous ? Est le rendez-vous incontournable de la blogosphère que j’ai envie de tester. Le suivi a été fait par plusieurs blogueurs, il est maintenant repris par Les paravers de Millina. Cet article devait me permettra de reprendre ce qui a été fait la semaine précédente et de répondre à quelques questions.

Je change légèrement le titre de l’article, puisque nous sommes plusieurs, mais le principe reste le même.

Dans le C’est lundi, que lisons-nous ? #21 je vous ai parlé de plusieurs de nos lectures, à vous de voir si nous avons respecté notre organisation…

La semaine dernière, il y a eu un La citation de Stanislaw Jerzy Lec, auteur de poème et de vers satiriques : « Est-ce un progrès, si un cannibale utilise une fourchette ? »

Je vous ai aussi proposé les premières lignes d’une de mes futures lectures À perdre haleine de Josie Shapiro ainsi qu’un extrait d’une de mes futures dernières lectures Beyrouth-sur-Seine de Sabyl Ghoussoub

Jeudi, j’ai enfin pris le temps de vous présenter Nicky et apparemment vous avez hâte de découvrir les mangas dont elles va nous parler.

Céline et MyrlitBooks n’ont pas fait de retour de lecture, mais les échanges ont été riches sur le blog.

Pour ma part, je vous ai parlé de la contribution au journal 20 minutes : J’ai mille ans… de Jean-Marie Quéméner. Un livre qui m’a particulièrement touché J’ai été profondément bouleversée par Amal, par l’espoir qui l’entoure, par ce texte qui porte en lui toute la noirceur de l’humanité, mais aussi tous les espoirs. C’est à la fois splendide par la manière dont l’aborde l’auteur, mais aussi révoltant par ce qu’il décrit.

J’ai mille ans. J’ai appris à rire au présent, à toiser au passé et à ignorer au futur. J’ai trop vécu pour me préoccuper d’une ligne hachurée… Ou pas assez…

Je vous aussi parlé du dernier livre de David Bry : Le chant des géants, qui ne m’a malheureusement pas convaincu, même si je lui reconnais de belles qualités.

Beyrouth-sur-Seine de Sabyl Ghoussoub une histoire d’une rare finesse, tout en profondeur, qui évoque à la fois des sujets politiques, géopolitiques, qui malgré leurs complexités, sont rendus accessibles par les descriptions et la vulgarisation que l’auteur apporte. Un livre nécessaire sur l’identité, l’exil, l’appartenance, l’enracinement.

Et puis, on ne pouvait pas passer à côté de la journée mondiale du Bonheur. Le premier rapport sur le bonheur dans le monde a été publié, il y a plus de 10 ans et depuis, de plus en plus de gens pensent que la réussite d’un pays doit s’évalue par le bonheur de son peuple. « Il existe également un consensus croissant sur la manière dont le bonheur doit être mesuré. Ce consensus signifie que le bonheur national peut désormais devenir un objectif opérationnel pour les gouvernements.

Excellent début de semaine à tous !

Qu’avons-nous lu la semaine passée ?

La semaine a été assez chargée. MyrlitBooks et moi avons terminé un seul livre. Un enfant sans histoire(s) d’Amélie Antoine qui sort le 4 avril.

Céline a lu, L’enfant sans histoire(s) ainsi que La revalorisation des déchets de Sébastien Gendron.

Que sommes-nous en train de lire en ce moment ?

MyrlitBooks a commencé L’Ange sur le toit des nouvelles de Russell Banks : Dans ces nouvelles pétries d’une sorte de conscience de classe tranquille et obstinée, on retrouvera des paysages et des thèmes chers à Russell Banks, et notamment les trahisons dont parents et enfants, maris et femmes, Blancs et Noirs se rendent mutuellement coupables. Ennemi déclaré du pittoresque, il refuse pourtant que ses personnages ne soient que pures incarnations d’une pathologie sociale – quelle que soit l’importance, dans ses textes, de problèmes tels que l’alcoolisme, la violence conjugale ou l’irresponsabilité financière.

Pour moi ce sera Les Sept Lunes de Maali Almeida s’inspire du folklore et de la mythologie du Sri Lanka, dont vous trouverez les Premières lignes… Ainsi que Terre fragile de Claire Fuller : Les jumeaux Julius et Jeanie ont toujours su qu’ils étaient différents. À 51 ans, ils habitent encore avec leur mère, Dot, à l’écart d’un petit village anglais nommé Inkbourne. Le cottage qu’ils louent depuis leur naissance les protège du monde extérieur. Dedans, ils jouent de la musique et chantent, dehors, ils plantent, cueillent et chassent ce dont ils ont besoin pour survivre. Cette vie-là est la seule qu’ils connaissent et la seule qu’ils désirent. Lorsque Dot meurt soudainement, leur existence se trouve ébranlée et les menaces pleuvent sur leur foyer. Alors que Jeanie et Julius se démènent pour préserver leur petit sanctuaire et ne pas sombrer dans la pauvreté, les secrets de leur mère refont surface, bouleversant leurs certitudes les plus profondes.

Céline lit « Brûlent les âmes » de Marlène Charine dont elle apprécie la plume : Séquestrée par un psychopathe, la lieutenante Cécile Rivère été sauvée in extremis par son supérieur et amant, le commandant Merlin Kermarec. Même si les cicatrices des sévices qu’elle a subis s’estompent, la jeune flic a du mal à reprendre pied.
Elle retourne pourtant au boulot, en espérant commencer par une affaire simple. Oui mais voilà, la vie de Cécile ne peut pas être simple. Et « Les dames de guerre Saigon » de Laurent Guillaume : Septembre 1953, New York. La rédaction de Life magazine est en deuil. Son reporter de guerre vedette, Robert Kovacs, a trouvé la mort en Indochine française laissant derrière lui un vide immense.
Persuadée que sa disparition n’a rien d’accidentelle, Elizabeth Cole, photographe de la page mondaine, décide de lui succéder et réalise ainsi son plus grand rêve : devenir correspondante de guerre.

Qu’allons nous lire ensuite ?

Je n’aurais certainement pas terminé Les Sept Lunes de Maali Almeida, texte assez dense et comme je ne connais pas du tout la littérature Sri Lankaise, je veux vraiment prendre mon temps. La protégée de Marlène Charine dont la 4ème de couverture m’a particulièrement intrigué.

Céline a prévu de lire « La maison aux sortilèges » d’Emilia Hart, j’ai vraiment hâte d’avoir son avis !

Pas de projections pour Myrlit, qui se laisse des possibilités infinies. Gageons que la pioche qu’elle fera sera certainement à la hauteur de ce qu’elle est en train de lire…

Et vous alors, qu’avez-vous lu ? Que lisez-vous ? Et que comptez-vous lire ?

Bon lundi et bon début de semaine à tous.

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