C’est lundi, que lisons-nous ? #25

C’est lundi, que lisez-vous ? Est le rendez-vous incontournable de la blogosphère que j’ai envie de tester. Le suivi a été fait par plusieurs blogueurs, il est maintenant repris par Les paravers de Millina. Cet article me permet de reprendre ce qui a été fait la semaine précédente et de répondre à quelques questions.

La fin de la semaine précédente a été mouvementée et s’est terminée aux urgences pour moi. Entre l’épidémie de gastro, un truc qui n’est passé, je suis ressortie après 8h, je n’étais pas plus avancée et avec des médocs qui ne correspondaient pas vraiment. Les médecins, infirmiers, prennent-ils le temps d’écouter les patients, je n’en était pas certaine avant, je le suis encore moins aujourd’hui. C’est grâce à mon médecin traitant que la solution a été trouvée et j’ai pu être soulagée à partir de mercredi.

Il n’y a donc pas eu de C’est lundi, que lisons-nous ? la semaine dernière, même si j’avais plusieurs choses à vous dire.

La semaine dernière, il n’y a eu aucune publication d’avis, mais un extrait d’une de mes dernières lectures Ecarlate de Hillary Jordan inspiré de La lettre écarlate de Nathaniel Hawthorne, ainsi qu’une fiche auteur avec Sophie Loubière.

Ces fiches auteurs retracent une petite biographie, mais c’est surtout l’occasion de regrouper les auteurs lus sur le blog. On y trouvera donc la liste des œuvres et les lectures faites.

Excellent début de semaine à tous !

Qu’avons-nous lu la semaine passée ?

Vu que j’ai peu dormi, la seule chose qu’il me restait à faire, c’est lire. J’ai donc lu pas mal, la position allongée a été source de soulagement mais aussi l’occasion de dormir par salve de plus d’une heure.

J’ai donc lu 8 livres certains trainaient depuis un moment dans la PAL et d’autres que j’avais prévu de lire à leur sortie. J’ai pu alléger ma pile de lecture. J’en arriverais presque à apprécier ma semaine de maladie… Certains ont été d’excellentes surprises, d’autres conforme à mes attentes et deux lectures mitigées. Je vous en parle rapidement.

Kaddour de Rachida Brakni : De l’annonce de la mort de mon père, Kaddour, le 15 août 2020, à sa mise en terre six jours plus tard, mon deuil me paraît confisqué tant la maison ne désemplit pas d’un flot ininterrompu de visites. Ce sont aussi six jours de crainte tant la complexité de la situation liée au covid rend incertaine la possibilité que son corps puisse être rapatrié en Algérie comme il le souhaitait. Six jours durant lesquels je m’échappe pour convoquer nos souvenirs. Ce que je sais de son enfance misérable en Algérie, de son arrivée en France qu’il sillonnera au volant de son camion, jusqu’à la chute, corps meurtri. Mais aussi ce qu’il m’a transmis, le rapport à la terre, au langage, et aux livres. J’ai dressé son portrait pour donner de la chair et sortir de l’anonymat ces hommes déracinés réduits à leur condition d’ouvriers, tiraillés entre deux pays. Et avant tout, j’ai voulu rendre hommage à l’homme sans qui je ne serais pas la femme que je suis. »R. B.

La Mer de la tranquillité d’Emily St. John Mandel : Quel est cet étrange phénomène qui semble se produire à diverses époques et toujours de la même façon ? Dans les bois de Caiette, au nord de l’île de Vancouver, des gens entendent une berceuse jouée au violon, accompagnée d’un bruissement évoquant un engin volant qui décolle. L’expérience est intense mais brève, au point que l’on pourrait croire à une hallucination. En 2401, sur une des colonies lunaires, l’institut du Temps veille à la cohésion temporelle de l’univers. Une brillante physicienne nommée Zoey s’interroge sur des anomalies qui la perturbent. Le monde tel qu’il existe ne serait-il qu’une simulation ?

Le Clan Snaeberg d’Eva Björg Ægisdóttir : Dans un hôtel perdu sur un champ de lave de la péninsule de Snæfellsnes, en Islande, se déroule une étrange réunion de famille : celle du clan Snæberg. Alors que le temps se détériore et que l’alcool coule à flots, l’un des membres de la puissante famille disparaît. La menace d’un rôdeur sème le doute parmi les convives. Mais le vrai danger ne se trouverait-il pas… à l’intérieur de l’hôtel ? Les rancœurs et le passé douloureux du clan Snæberg vont remonter peu à peu au jour, jusqu’à ce que la vérité, effarante, soit révélée.

Un piège de papier d’Eva García Saenz de Urturi : Et si l’histoire se répétait ? Alors que la récente publication d’un roman historique,Les Seigneurs du temps, rencontre un immense succès auprès des habitants de Vitoria, l’inspecteur et profiler Unai López de Ayala, dit Kraken, est confronté à des meurtres aussi cruels qu’abjects. Quand il comprend que le modus operandi imite celui des exécutions moyenâgeuses décrites dans le livre, l’auteur devient rapidement un suspect. Or, personne ne connaît ni son nom ni son visage. Pour démêler le vrai du faux dans cette enquête, Kraken devra creuser dans le passé de la ville et affronter ses propres démons. Car, entre les pages de ce manuscrit maudit, se cache un lourd secret…

La langue des choses cachées de Cécile Coulon : À la tombée du jour, un jeune guérisseur se rend dans un village reculé. Sa mère lui a toujours dit :  » Ne laisse jamais de traces de ton passage.  » Il obéit toujours à sa mère. Sauf cette nuit-là. Cécile Coulon explore dans ce roman des thèmes universels : la force poétique de la nature et la noirceur des hommes.

Cadavre exquis d’Agustina Bazterrica : Un virus a éradiqué la quasi-totalité des animaux sur Terre. Pour pallier l’absence de bétail, une nouvelle espèce a été développée à partir du génome humain – des êtres en tout point semblables à nous, mais destinés aux abattoirs. C’est pour l’un de ces établissements que travaille Marcos. Il supervise la chaîne de production, de l’élevage à la boucherie. Mais, chaque jour, sa tâche le dégoûte un peu plus, jusqu’à l’intolérable. Sa vie bascule quand, au mépris de la loi et de la morale, il sauve une femelle de la mort…

Nous d’Evgueni Zamiatine : Dans une société assujettie au bonheur infaillible et obligatoire, alors que la “dernière” de toutes les révolutions possibles a eu lieu, les hommes, sous une cité de verre dans laquelle chaque geste est contrôlé, sont devenus des “Numéros”. Ceux-ci paient de leur vie le moindre écart à l’ordre établi contre lequel, malgré tout, une poignée de dissidents va s’insurger. D-503 y tient un journal à la gloire de ce monde aseptisé et y consigne les débuts d’une insurrection qui va peu à peu le transformer. Anti-utopie prophétique qui anticipe toutes les glaciations du XXe siècle, “Nous” est considéré comme le premier chef-d’oeuvre de science- fiction, celui qui inspirera “1984” de George Orwell et “Le Meilleur des mondes” d’Aldous Huxley.

Écarlate d’Hillary Jordan : Pour protéger l’homme qu’elle aime, Hannah n’a eu d’autres choix que d’avorter. Condamnée à porter sur sa peau la couleur de son crime, la jeune femme, teinte en rouge, devient le réceptacle de l’injustice, de l’ignorance et de la brutalité des hommes. Inspirée de La Lettre écarlate, un roman d’apprentissage vivement salué par la critique, ancré dans un monde où les dérives religieuses ont anéanti le droit des femmes et la liberté d’expression. Un monde pas si éloigné du nôtre…

Summit de Malø : Au cœur des profondeurs glacées du continent blanc, les plus grands flics scandinaves se sont réunis pour résoudre ensemble une affaire qui menace l’intégrité de leurs pays respectifs. L’inspecteur Qaanaaq Adriensen, chef de la police locale, prend la tête de l’expédition qui les emmène sur le territoire hostile de l’inlandsis – un désert glacé de plusieurs centaines de kilomètres carrés. Mais des événements troublants surviennent. Et Qaanaaq doit affronter une blessure ancienne qui le met en péril – au pire moment. Quand un membre du groupe disparaît, tout bascule définitivement. Et si quelqu’un cherchait à provoquer leur perte et celle de la police groenlandaise tout entière ?

Céline a terminé L’île des souvenirs de Chrystel Duchamp : Quand Delphine se réveille dans un lieu inconnu, elle est menottée à un radiateur. Bientôt rejointe par une autre prisonnière, qu’elle connaît. L’une des deux ne survivra pas à l’horreur. L’enquête confiée à la Crim n’avance pas assez vite aux yeux de l’opinion. Et pour cause : la mémoire de la rescapée est un véritable champ de ruines… Delphine, 22 ans, est étudiante à Lyon. Issue d’une famille bourgeoise, elle tente de s’affranchir de son éducation en écumant bars et boîtes de nuit. Au cours d’une soirée, elle suit une ombre mystérieuse jusqu’à sa voiture… Quand elle se réveille dans une maison abandonnée, elle est menottée à un radiateur. Bientôt rejointe par une autre prisonnière. L’enquête confiée à la Crim’ n’avance pas assez vite aux yeux de l’opinion. Sous pression, le capitaine Romain Mandier accepte l’aide d’un profiler et d’une psychotraumatologue. Qui est cet homme en noir, qui hante les souvenirs confus d’une des captives ? Pourra-t-on exhumer de sa mémoire les fragments qui mèneront au coupable ? dont elle apprécie la plume, elle a d’ailleurs trouvé que cet opus était intéressant car elle distille beaucoup de chose sur l’état de notre société. Ainsi que Les dames de guerre Saigon de Laurent Guillaume : Septembre 1953, New York. La rédaction de Life magazine est en deuil. Son reporter de guerre vedette, Robert Kovacs, a trouvé la mort en Indochine française laissant derrière lui un vide immense.
Persuadée que sa disparition n’a rien d’accidentelle, Elizabeth Cole, photographe de la page mondaine, décide de lui succéder et réalise ainsi son plus grand rêve : devenir correspondante de guerre.
C’est le début d’une enquête à l’autre bout du monde, au cœur d’un écheveau d’espions, de tueurs à gages, de sectes guerrières, d’aventuriers, et de trafiquants d’armes. À Saigon, Hanoï, sur les hauts plateaux du Laos, Elizabeth va rencontrer son destin en exerçant son métier dans des conditions extrêmes et affronter les pires dangers.
La mort est un jardin d’Éric Schemoul : Dans les années 2000, un homme d’affaires peu recommandable, le sulfureux milliardaire anglais Sir Malcolm James, dévasté par la mort de sa femme Kathrin, décide de revenir habiter dans son immense propriété du Cap d’Antibes, à l’abandon depuis trente ans. Cette villa et ce jardin exotique – premier témoignage de son amour pour Kathrin -, qu’il avait volontairement délaissés pour se venger de sa froideur, deviennent alors, une fois rénovés, le lieu privilégié où Sir James attire et séduit de nombreuses femmes, toutes étrangement ressemblantes à son épouse défunte. Mais ces femmes, une à une, disparaissent subitement dans les profondeurs du vaste jardin, devenu le théâtre d’un jeu de miroirs dangereux où l’amour passionnel peut conduire à l’aliénation et au meurtre. 

MyrlitBooks a terminé La joueuse de go de Shan Sa, un roman à la trame historique très intéressante. Elle vous en parle dans la semaine : Depuis 1931, le dernier empereur de Chine règne sans pouvoir sur la Mandchourie occupée par l’armée japonaise. Alors que l’aristocratie tente d’oublier la guerre, une princesse de seize ans joue au go, place des Mille Vents. Sur le damier, elle bat tous ses prétendants. Mais elle ignore encore son adversaire de demain : un jeune officier japonais dévoué à l’utopie impérialiste. Ils s’affrontent, sans un geste, jusqu’au bout, tandis que la Chine vacille sous les coups de l’envahisseur. Troublant et ardent, La joueuse de go est l’un des romans majeurs de ces dernières décennies.

Que sommes-nous en train de lire en ce moment ?

Dans ma lancée de lecture bizarre, j’ai enchainé avec Histoire de Froeude de Mona Hovring, je suis assez mitigée, mais j’aurais dû m’en douter. Le côté trop décalé ne passe pas toujours, surtout quand il se rapporte à un quotidien. Néanmoins, je reconnais que la plume de l’autrice est très imagée et que l’histoire est bien plus profonde qu’il n’y parait… Au 13 Forêt Primaire, avec une vue spectaculaire sur la mer, Frœude vit en compagnie de son frère aîné Serge Œudippe et de sa jeune sœur, Eva. C’est lui qui fait office de chef de famille quand leur père, August Augustus Vulgaris, capitaine au long cours et musicien à ses heures au sein du quartet Ramoule, navigue sur son voilier. Partie depuis bien longtemps, leur mère se contente d’envoyer une carte postale par an, depuis le couvent italien où elle a pris les ordres. Un jour, Vulgaris revient avec une belle-mère pour les enfants : la décoiffante Demona des Javus, qui possède un diplôme d’acupunctrice obtenu par correspondance, une moto Triumph bleu pétrole et un appétit carnassier. Et qui, surtout, s’est juré de ne jamais rire. Très vite, elle bouleverse la maisonnée, met la famille au pas, impose ses sautes d’humeurs et son franc-parler. Fasciné par son effroyable belle-mère, Frœude prend néanmoins plaisir au chamboulement de cette nouvelle existence. Après une désastreuse réunion de parents d’élèves, Demona touche le fond. Terrorisé à l’idée qu’elle l’abandonne à son tour, Frœude décide qu’il sera le premier à la délier de son serment : il va la faire rire, rire aux éclats.

Céline a commencé La ferme des animaux de George Orwell : Un jour de juin eut lieu en Angleterre la révolte des animaux. Les cochons dirigent le nouveau régime. Boule-de-Neige et Napoléon, cochons en chef, affichent un règlement : « Tout ce qui marche sur deux pieds est un ennemi. Tout ce qui marche sur quatre pattes, ou possède des ailes, est un ami. Nul animal ne portera de vêtements. Nul animal ne dormira dans un lit. Nul animal ne boira d’alcool. Nul animal ne tuera un autre animal. Tous les animaux sont égaux. » Le temps passe. La pluie efface les commandements. L’âne, un cynique, arrive encore à déchiffrer : « Tous les animaux sont égaux, mais certains animaux sont plus égaux que d’autres. » Ainsi que le premier tome de la saga Héloïse l’apothicaire d’Eric Fouassier, Bayard et le crime d’Amboise : 1498. Le roi Charles VIII meurt à Amboise. Tous pensent qu’il s’agit d’un accident ; tous, sauf un quasi-inconnu qui vient de se distinguer sur le champ de bataille. Le seigneur de Bayard, malgré sa jeunesse, ne manque pas d’audace. Il est convaincu que le roi a été assassiné. Épris de justice, il demande l’accord du premier chambellan et la bénédiction de la veuve du monarque pour élucider ce crime impossible. Mais il doit faire vite avant que ne se dispute la succession au trône, et, avec le soutien de l’apothicaire Héloïse Sanglar, il s’engage dans une véritable lutte contre le temps.

MyrliBooks part à la découverte de La débâcle de Lize Spit, que j’ai très envie de découvrir depuis sa sortie. À Bovenmeer, un petit village flamand, seuls trois bébés sont nés en 1988 : Laurens, Pim et Eva. Enfants, les “trois mousquetaires” sont inséparables, mais l’adolescence s’insinue dans leur intimité et crée petit à petit une fissure irrévocable. Un été de canicule, les deux garçons conçoivent un stratagème pour faire se déshabiller devant eux les plus jolies filles du village. Il est simple et efficace : la candidate devra résoudre une énigme ; à chaque erreur, il lui faudra enlever un vêtement. Et c’est Eva qui servira d’arbitre si elle veut rester dans la bande. Elle accepte, sans savoir que cet “été meurtrier” la marquera à jamais. Treize ans plus tard, devenue adulte, Eva retourne pour la première fois dans son village natal. Cette fois, c’est elle qui a un plan… Hâte de connaitre son avis.

Qu’allons nous lire ensuite ?

Je ne désespère pas de sortir Le grand vertige de Pierre Ducrozet, mais j’espère aussi, enfin, lire le dernier Niko Tackian Triangle noir : Loin sous les arbres, deux adolescents sont retrouvés morts, le corps marqué au fer par un triangle noir. C’est un message anonyme qui a alerté les autorités. La police criminelle de Strasbourg dépêche le commandant Max Keller, un flic discret et silencieux. Enfant, il était l’ami sur qui on peut compter, adulte il est devenu un enquêteur remarquable, connu pour son intégrité et sa persévérance. Au nord de la même forêt, Pierre Martignas vit dans un chalet perdu. Considéré comme l’un des plus brillants criminologues de sa génération, il s’est coupé du monde depuis que sa dernière expertise s’est terminée en tragédie. Le sort effroyable de ces deux adolescents va pourtant le sortir de sa retraite. Je glisserais

J’aimerais glisser Les Silences des pères de Rachid Benzine, dont j’ai lu Dans les yeux du ciel et que j’ai bien aimé : Un fils apprend au téléphone le décès de son père. Ils s’étaient éloignés : un malentendu, des drames puis des non-dits, et la distance désormais infranchissable.
Maintenant que l’absence a remplacé le silence, le fils revient à Trappes, le quartier de son enfance, pour veiller avec ses soeurs la dépouille du défunt et trier ses affaires. Tandis qu’il débarrasse l’appartement, il découvre une enveloppe épaisse contenant quantité de cassettes audio, chacune datée et portant un nom de lieu. Il en écoute une et entend la voix de son père qui s’adresse à son propre père resté au Maroc. Il y raconte sa vie en France, année après année. Notre narrateur décide alors de partir sur les traces de ce taiseux dont la voix semble comme resurgir du passé. Le nord de la France, les mines de charbon des Trente Glorieuses, les usines d’Aubervilliers et de Besançon, les maraîchages et les camps de harkis en Camargue : le fils entend l’histoire de son père et le sens de ses silences.

MyrlitBooks se laissera certainement tenter par La tristesse des éléphants de Jodi Picoult : Jenna avait trois ans quand a inexplicablement disparu sa mère Alice, scientifique et grande voyageuse, spécialiste des éléphants et de leurs rituels de deuil. Dix années ont passé, la jeune fille refuse de croire qu’elle ait pu être tout simplement abandonnée. Alors elle rouvre le dossier, déchiffre le journal de bord que tenait sa mère, et recrute deux acolytes pour l’aider dans sa quête : Serenity, voyante extralucide qui se prétend en contact avec l’au-delà ; et Virgil, l’inspecteur passablement alcoolique qui avait suivi – et enterré – l’affaire à l’époque. Dosant subtilement suspense, romance et surnaturel pour évoquer l’amour filial, l’amitié et la perte, «La Tristesse des éléphants» émeut et surprend jusqu’à son finale, aussi haletant qu’inattendu.

Céline se laisse la possibilité d’être guidée par ses envies.

Et vous alors, qu’avez-vous lu ? Que lisez-vous ? Et que comptez-vous lire ?

Bon lundi et bon début de semaine à tous.

Ju lit Les Mots

– Blog littéraire – Critiques littéraires – Co-fondatrice Prix des auteurs inconnus – Membre the funky geek club – Contributrice journal 20 minutes –




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30 réponses

  1. Merci Julie pour ce chouette Lundi que lisons-nous ?

    Tes dernières lectures m’intriguent et j’ai hâte d’en découvrir davantage sur certains de ces romans (Écarlate et Un piège de papier notamment).

    J’ai prévu (et hâte) de lire « La langue des choses cachées » depuis sa sortie, normalement je dois le récupérer à la médiathèque d’ici peu 😉. Quant à la série de Mo Malo, j’ai lu le premier opus et je ne désespère pas de lire les suivants.

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  2. Tu me tentes avec « L’histoire de Frœude »

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  3. Je me rappelle avoir bien aimé la singularité de la plume de la Mer de la tranquillité.
    De mon côté, je termine mon challenge de SF du mois d’avril et j’enchaîne la fin de Second oekumene avec le tome 4 de la Ballade de Pern. Mon coeur ça à ce dernier.
    Belle semaine

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  4. Avatar de ducotedechezcyan

    J’espère que tu te remets bien malgré le manque d’écoute des médecins 😉

    La mer de la tranquillité et Nous sont dans ma WL, un jour peut-être qu’il finiront par arriver jusqu’à ma PAL ^^ Je ne connais pas les autres, mais comme toujours je suis curieuse de découvrir vos avis à leur sujet.

    Bonne semaine et bonnes lectures !

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  5. Soit le temps manque au personnel médical pour écouter les patients, soit ils n’en ont rien à foutre, soit ils nous prennent pour des menteurs quand on leur dit qu’on a mal « là » et qu’ils ne trouvent rien… Les vétos écoutent mieux, je trouve… on devrait se faire soigner par eux !!

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  6. Oh mince, désolée de voir que tu as fini au urgences du coup ! J’espère que ça va vraiment mieux maintenant et que ton médecin traitant a pu te donner ce qu’il fallait pour t’aider. Fais attention à toi surtout 🙂
    Le résumé de Cadavre exquis me rebute autant qu’il me fait envie, c’est fou ça ! 😂 Et j’adore la couverture, avec cette écureuil qui complète le visage de cette femme. Je suis curieuse concernant L’île des souvenirs, et je suis contente de voir que Céline l’a appréciée. J’avais beaucoup aimé L’art du meurtre de cette auteure mais je n’ai pas lu celui-ci. 🙂 La couverture de Débâcle me fait mal au cœur avec cette pauvre enfant.
    Je vous souhaite à toutes les trois d’excellentes lectures !

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    • Merci Ludivine, ça va mieux 🙂 Effectivement mon médecin a été très bien pour le coup ! Cadavre exquis est vraiment fou, effectivement il suscite bien la révulsion et l’envie de le lire ! La couverture française est vraiment réussie, mais celle du format poche est affreuse !
      J’avais beaucoup aimé l’art du meurtre, et effectivement l’Ile des souvenirs est très bon, je dirais un cran au-dessus…
      Myrlit nous en parle le 5 mai 😉 Bientôt en lecture chez moi aussi !
      Excellente semaine de lecture à toi 🙂

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    • Merci Ludivine ! Je souhaite également de belles lectures.

      J’ai englouti « L’île des souvenirs », dans lequel j’ai tout autant apprécié l’histoire que les connaissances que nous distille l’auteure (ainsi que la façon dont elle dépeint la société) ; on sent qu’elle a bossé le sujet, et c’est une chose que j’aime beaucoup. Comme pour Marlène Charine, j’apprécie aussi beaucoup son écriture. Je l’avais découverte avec l’excellent « Délivre-nous du mal » (j’avais moins aimé « Le sang des Belasko ») mais je n’ai pas encore lu son premier opus « L’art du meurtre » (je le ferai bientôt 😉)

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      • Merci pour ton retour Céline ! 😃 J’avais justement beaucoup aimé la manière dont elle traitait le monde de l’art dans le roman L’art du meurtre, alors je veux bien te croire quand tu dis qu’elle a bossé son sujet sur L’île des souvenirs et qu’on ressent bien toutes les connaissances qu’elle a insufflé à son roman. J’avais justement repéré Délivre-nous du mal comme une future lecture donc j’ai l’embarras du choix si je comprends bien. 😉 Bonne lecture pour L’art du meurtre ! 🙂

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