Bilan challenge Thriller et polar 2023-2024

L’heure du bilan est arrivée et, même si l’année du challenge a été compliquée en lecture, je suis ravie de partager avec vous la liste des livres que j’ai lu.

J’aime butiner au gré de mes envies, je ne me suis donc pas fixer d’objectif particulier pour ce challenge, je me sens moins frustrée de ne pas les atteindre et depuis que je n’en ai plus, je me sens plus légère !

C’est toujours un plaisir de participer, et terminer avec 37 romans/BD de lus, c’est quand même pas mal. Je ne rivalise certainement pas avec Belette et Sharon.

Pour accéder à mes avis, il suffit de cliquer sur le titre…

Livres – BD – Romans graphiques

1- Sur ordre de Dieu de Jon Krakauer : C’est une lecture dense, John Krakauer connaît et maîtrise très bien son sujet, la théologie mormone est très bien expliquée, l’histoire est très bien documentée. L’auteur a fait un excellent travail de recherche. C’est d’ailleurs un de ces traits de plume que l’on retrouve dans ces autres publications.

2- Syngué Sabour – Pierre de patience de Atiq Rahimi : Atiq Rahimi, donne à toutes les femmes opprimées, une perpétuelle reconnaissance pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, et deviennent toutes des symboles : «Cette voix qui émerge de ma gorge, c’est la voix enfouie depuis des milliers d’années». C’est dur, émouvant, certains passages sont suffoquant, pourtant, on continue de lire, car on aimerait qu’une lueur d’espoir apparaisse. Jusqu’à la toute fin, on espère… Un livre engagé, contre l’obscurantisme, l’extrémisme religieux, hommage à la poétesse afghane Nadia Anjuman, battue à mort par son mari.

3- Paternoster de Julia Richard : Julia Richard nous propose d’explorer plusieurs thèmes en quelques pages. C’est à la fois un thriller psychologique qui fait la part belle à la place de la femme dans la société, dans laquelle le poids des diktats qu’elle lui impose est souvent lourd à porter, le tout saupoudré d’un zeste de fantastique.

4- Les contemplées de Pauline Hillier : Un livre émouvant, une plume poétique, j’ai été très touchée par ces femmes, auxquelles elle dédie ce livre à travers son histoire. J’ai retrouvé ce que je connais de la Tunisie et de son système judiciaire, tout y est… Un livre qui décrit avec pudeur, le quotidien de prisonnières courageuses, en but à l’horreur, d’une grande résilience, d’une beauté foudroyante dans une Tunisie où les femmes sont de plus en plus les victimes collatérales d’un système politique défaillant.

5- « Djinn » de Jean Dufaux et Ana Mirallès : Cela faisait un moment que je voulais la découvrir et même si la série est différente de ce que j’imaginais, j’ai adoré les dessins et Ana Mirallès, illustratrice espagnole qui mélange plusieurs références à la sensualité de ses dessins.

6- Population 48 d’Adam Sternbergh : L’ambiance sombre et dystopique est l’un des points forts du livre, puisqu’à travers son intrigue, il explore les conséquences sociales, psychologiques et morales de vivre dans un environnement aussi restreint, où les limites de la société et de l’individu sont mises à l’épreuve.

7- La Propagandiste de Cécile Desprairies : Les rebondissements et les révélations à mesure que l’intrigue progresse sont surprenants et rendent la lecture complètement addictive (ce n’est pas un terme que j’emploie normalement, car je trouve qu’on le voit beaucoup trop…)

8- Oiseau de proie de Lucy Banks : C’est une lecture troublante, avec très peu de personnage, à la limite du huis-clos, chacun d’eux apporte un éclairage nouveau sur la psychologie d’Ava devenue Robin. Robin pour effacer Ava, Ava qui n’arrive pas à laisser Robin prendre son envol et tourner la page. Ava toujours enfermée dans son univers carcéral, dans sa tête et toujours en proie à ses démons.

9- La leçon du mal de Yûsuke Kishi : c’est est un thriller psychologique qui explore les aspects sombres de la psyché humaine et les implications morales de nos actions. Il met en lumière la manière dont un individu manipulateur peut influencer et corrompre les autres, en particulier les jeunes esprits impressionnables. La plume de l’auteur est très descriptive et visuelle, la violence monte crescendo jusqu’à l’apothéose finale.

10- Céleste : « Bien sûr, monsieur Proust » – Première partie de Chloé Cruchaudet : Chloë Cruchaudet restitue à merveille, une ambiance feutrée, tout en douceur, d’une intimité qu’on a l’impression de déranger. On observe à la dérobée les illustrations et on espère ne pas déranger ce couple, en fin de compte bien étrange. J’ai trouvé le tout d’une beauté fulgurante, touchante et je vous recommande sa lecture, pour la beauté des dessins, mais surtout pour tout l’amour que l’on ressent en découvrant les illustrations.

11- J’ai mille ans de Jean-Marie Quéméner : C’est un livre dont il est difficile de parler, car un drame se joue à nos portes et pourtant, nous préférons fermer les yeux. Reste ces hommes et ces femmes qui continuent à espérer et pour qui partir, tout abandonner est un geste de survie, de nécessité absolue et pourtant à chaque fois que nous préférons détourner le regard, nous perdons un peu plus de notre humanité.

12- Les Chants d’amour de Wood Place de Honorée Fanonne Jeffers : C’est diablement bien construit, audacieux, on y retrouve un brin de Racines de Alex Haley et cela pour mon grand plaisir !

13- Les Futurs de Liu Cixin – Tome 9 : La Terre transpercée de Wu Qingsong : L’alternance entre les époques, entre le père et le fils n’est pas toujours simple à suivre, cela manque de clarté sans pour autant gêner la lecture, ni la compréhension de ce que l’auteur tente d’aborder. C’est grâce à la conclusion, que je n’ai pas vu venir, que mon niveau de satisfaction est remonté en flèche !

14- Les futurs de Liu Cixin, tome 6 : Proies et prédateurs de Jean-David Morvan : J’imagine que l’idée, c’est de surfer sur la naïveté des êtres humains par opposition à ceux qui débarquent, mais franchement ça ne passe pas. Sauf, peut-être à transposer ça dans une époque différente.

15- Les Futurs de Liu Cixin – Tome 13 : L’Humanité invisible de Liu Wei : Les questions que l’on se pose en refermant cette BD, ont un large champ des possibles, entre la conquête d’autres planètes ou la réduction de notre consommation, mon cœur balance et les générations futures seront peut-être amenées à se poser ce genre de questions, même si nous sommes loin d’avoir atteint, scientifiquement ce type de prouesse… Enfin sauf si Wayne Szalinskinous nous file sa potion magique…

16- D’or et de jungle de Jean-Christophe Rufin : Un livre très humain, pour un sujet qui peut sembler loufoque, où les arcanes du pouvoir et ses dérives sont décortiquées, pour notre plus grand plaisir. Jean-Christophe Rufin construit un scénario brillant, porté par une plume accessible, visuelle, réaliste, où la dimension sociale ne peut s’affranchir de la dimension économique, et politique.

17- Sur tes traces de Harlan Coben : Malgré un final un peu tiré par les cheveux, pour la férue de thriller que je suis et quelques passages qui manquent de crédibilité, j’ai quand même passé un moment de lecture agréable.

18- Rue des tempêtes, tome 1 : Menace sous la ville de Fanny Gordon : J’ai bien aimé les personnages, l’intrigue, la construction de l’histoire, mais si je n’avais fait mon choix que sur la couverture, qui a un côté assez vieillot qui pourrait ne pas plaire aux jeunes lecteurs, je serais passée à côté d’une bonne lecture jeunesse.

19- Un enfant sans histoire(s) d’Amélie Antoine : Une intrigue d’une rare finesse, à la construction psychologique incroyable, portée par une plume rugueuse, âpre, sans fioritures et pourtant percutante, à la tension palpable jusqu’au final qui laisse sans voix. Un roman choral où chaque personnage donne son point de vue. Tout est millimétré, Amélie Antoine, comme un joueur d’échec, place les pions jusqu’à la nuit du drame…

20- Obsolète de Sophie Loubière : En s’aventurant vers l’anticipation, avec une pointe de thriller, et un zest de polar, Sophie Loubière prend une certaine hauteur avec un univers dense réfléchi et plausible, puisqu’à travers des recherches très poussées, elle utilise ce qui existe en 2024, pour enfin le rendre aboutit en 2224. Le grand recyclage ne concerne pas que les femmes, c’est toute une société qui se recycle, parfois au détriment de son humanité la plus profonde où le rôle premier de l’être humain est la procréation.

21- Ecarlate de Hillary Jordan : Un roman d’anticipation bouleversant qui dénonce à la fois les crimes faits aux femmes mais aussi les dérives des fanatiques religieux et cela quelque soit le genre que l’on ait. Le fait de porter son crime sur soit, est à la fois une peine majeure mais laisse les condamnés à la merci de la vindicte populaire, beaucoup plus meurtrière que celle de l’Etat lui-même. Chacun devenant juge pour son bon plaisir et sous couvert du gouvernement. Au nom de quoi ?

22- L’Ange de l’histoire de Rabih Alameddine: Un roman ambitieux, original, qu’il n’est pas aisé d’aborder. Malgré une lecture chaotique, je garde un sentiment agréable dans son ensemble, mais avec des passages à vide où je suis restée à la périphérie de ce conte moderne.

23- Duel de Frank Leduc : C’est un livre qu’on lit avec plaisir, un vrai page turner que j’ai eu du mal à lâcher et dont l’auteur détricote les fils tout au long du récit, donnant le sentiment au lecteur de participer activement à une enquête rythmée, dense, où la mort est présente et palpable. Le final est d’ailleurs digne du grand banditisme, et on en redemande ! Un duel entre le bien et le mal, mais surtout entre la justice et le profit. Tout est une question de dualité…

24- Elma d’Eva Björg Ægisdóttir : Les fils se croisent et s’entrecroisent pour finalement former un excellent polar, porté par une enquêtrice ni grande gueule, ni soumise, mais qui finalement ressemble beaucoup à la victime et la rend encore plus proche de nous. Elle comprend ce qu’elle a pu ressentir, et ça c’est la cerise sur le gâteau.

25- La Mer de la tranquillité d’Emily St. John Mandel : Toute la construction de l’autrice tourne autour de cette expérience vécue par chacun de ses personnages, dans des temporalités différentes. Elle va peu à peu resserrer l’étau tout en distillant de manière fragmentée le suspens au rythme des années et de la vie de chacun. L’idée du voyage dans le temps n’est certes pas révolutionnaire, mais la manière dont l’auteure construit son intrigue est d’une grande élégance et finesse, qui s’adressera à tous les lecteurs, même ceux éloignés de la science-fiction.

26- Les Filles qui mentent d’Eva Björg Ægisdóttir : Si dans Elma, l’auteure aborde la maltraitance des enfants, ici elle évoque des sujets tout aussi forts, avec notamment le désir d’enfant, les difficultés de l’adolescence, et bien d’autres traumas qui laissent des cicatrices indélébiles (viols, suicides…) Tout cela en mettant en lumière le travail des services sociaux. Un très bon thriller, aux personnages bien construits et à l’intrigue fouillée et travaillée. Après les filles, qui mentent l’auteure nous propose de découvrir les garçons qui brulent et je trouve que les titres choisies, racontent eux-mêmes une histoire…

27- Les rites de l’eau d’Eva Garcia Saenz de Urturi : J’avais peur d’être un peu déçue avec Les rites de l’eau, car Le silence de la ville blanche avait été un vrai plaisir, et pourtant j’ai retrouvé tout ce que j’aimais. L’auteure développe de nouveau une intrigue bien ciselée avec des personnages à la psychologie bien construite, elle nous balade à travers les rebondissements, pour finalement nous laisser exsangues lorsque la résolution arrive avec un tueur complètement improbable et inattendu…

28- Nos cœurs disparus de Celeste Ng : La construction narrative est remarquable, l’auteure, maîtrisant l’art de distiller les indices et les révélations de manière progressive, tout en maintenant le suspense jusqu’à la dernière page. Chaque chapitre apporte de nouvelles perspectives sur l’histoire et sur les relations entre les personnages, créant ainsi une toile complexe et totalement immersive.

29- Les garçons qui brûlent d’Eva Björg Ægisdóttir : Le personnage d’Elma est un peu plus mis en valeur, que ce soit en tant qu’enquêtrice, aux côtés de son équipe. Mais aussi en tant que femme, puisqu’elle va devoir faire des choix, qui vont changer sa vie ainsi que celle de Sævar, son collègue et compagnon. Peut-être l’occasion pour elle, enfin de tourner une page d’un passé douloureux.

30- Une année sans Cthulhu de Thierry Smolderen et Alexandre Clérisse : Malgré ses défauts, cela reste une BD à découvrir, rien que pour son graphisme, et j’ai particulièrement apprécié la façon dont l’ambiance est distillée avec le mythe pour créer une atmosphère d’angoisse et de mystère.

31- Le Tableau du peintre juif de Benoît Séverac : L’intrigue est passionnante, émouvante jusqu’à la toute fin, et on ressent tout l’amour et l’empreinte que cette aventure aura laissé sur Stéphane, mais aussi tout l’héritage et la fierté d’appartenir à une famille dont un des membres est reconnu Juste parmi les Justes.

32- Le protégée de Marlène Charine : C’est un thriller qui respecte tous les codes, qui fait bien le job, mais je suis assez partagée sur cette lecture. Le rythme n’était pas toujours à la hauteur, en dents de scie ce qui a un peu cassé la dynamique de lecture. J’ai un sentiment global d’inachevé, avec pas mal d’interrogation qui restent en suspens. Peut-être que j’attendais que l’aspect fantastique soit plus exploité et que mes attentes n’ont pas été exhaussées et que du coup cela ne m’a pas permis d’apprécier ce livre à sa juste valeur.

33- Le Fauve de Corleone de Facundo Teyo, Vladimiro Merino et Facundo Percio : Une bande dessinée intéressante avec un sujet bien exploité, mais malheureusement je n’ai pas adhéré aux dessins. J’ai trouvé que les visages manquaient d’expressions et étaient trop semblables. Ce qui rend l’ensemble assez froid et ne m’a pas permis d’avoir de l’empathie. Pour autant, c’est une chouette découverte pour la partie documentaire. J’ai appris des choses et c’était plaisant sans être inoubliable pour autant.

34- Missak Manouchian mort pour la France de Jean-Pierre Pécau, Eduardo Ocana et Maz : Même si j’ai apprécié l’ensemble, et qu’il est difficile de ne pas aimer, j’ai trouvé que cela manquait de profondeur et j’aurais aimé que la BD aborde la vie de Manouchian avant la Seconde Guerre mondiale, car elle a nécessairement influencé ses choix de vie ainsi que ses décisions.

35- Mary Shelley contre Frankenstein de Christine Luce et Valentina Principe : L’ensemble m’a semblé pauvre et mal écrit, avec un style parfois trop ampoulé pour rester didactique et c’est fort dommage, car même un lecteur au langage soutenu, s’y perd un peu.

36- Homéostasie de Céline Picard : Un livre drôle, profond, sarcastique et grinçant, qui aborde plusieurs sujets où le sens de la vie peut prendre un virage à 360° pour le plus grand bonheur du personnage principal, mais aussi celui du lecteur qui déguste, savoure chaque ligne jusqu’au point final qu’il aimerait ne pas voir arriver !

37- Moon Tome 1 : Une Balle pour un croisé de Stephan Louwes et Johan Vandevelde : Je ne m’attendais pas à des dessins en noir et blanc, vu la couverture très colorée, mais passée la surprise, je n’ai pas été déçue. Les planches sont rythmées, les personnages bien reconnaissables, chacun avec des expressions déjà bien marquées. L’ensemble est très bon, mais je suis restée sur ma faim. Le nombre de planches aurait pu être plus conséquent, les 72 pages se lisent vite et j’ai été frustrée que cela se termine d’une façon assez « brutale ». Ce qui montre au moins que j’ai apprécié ma découverte !

Films – Séries – Animés – Documentaire

1- Vivarium de Lorcan Finnegan : Il m’a manqué ce petit truc en plus pour apprécier ce film, non aboutit, alors même que le concept et le début étaient prometteur. Un scénario faible, lent et sans saveur. La fin, malgré quelques miettes d’information, m’a laissé sur ma faim, le réalisateur ne donne aucune piste de compréhension sur tout ce qui s’est passé.

2- Syngué Sabour de Atiq Rahimi : La réalisation est minimaliste, intelligente parfois bouleversante, mais c’est l’actrice qui crève l’écran, que l’on admire pour sa beauté et son jeu, sans avoir pu visualiser toute l’atrocité de ce qu’elle raconte. Au cinéma, je veux voir des images et ici il m’a manqué le côté visuelle, descriptif que j’attendais.

3- « Invasion » de Simon Kinberg et David Weil : Cette première saison mise tout sur ses personnages. Et ils sont fichtrement bien campés ! Chacun a sa propre psychologie, sa propre personnalité, permettant déjà d’entrevoir le rôle que chacun d’entre eux pourrait tenir dans un groupe. Le casting est une vraie réussite.

4- « Tokyo vice » de J. T. Rogers : Cette série souffle un vent de fraîcheur dans le monde de plus en plus aseptisé des séries, puisqu’elle reproduit le livre sans vouloir s’en écarter, en lui restant le plus fidèle possible. L’auteur, toujours journaliste d’investigation, y veille et pour l’occasion, il a endossé la casquette de producteur exécutif de la série, afin d’en garantir l’authenticité. Les gens fument, boivent et rien n’est effacé et sincèrement, ça fait du bien, de retrouver une série qui s’émancipe de cette ligne de conduite. L’ambiance est poisseuse, enfumée où l’alcool coule à flot, c’est le reflet d’une époque, d’une société japonaise, qui oscille entre modernité et tradition.

5- « Manifest » de David Frankel : A trop vouloir étirer le propos, l’essence même de l’intrigue, de la fiction bien dosée, se perd parfois dans toutes ces longueurs et incohérences. Pourtant, j’ai été jusqu’au bout et j’en suis contente, car j’ai eu un début de réponse et j’ai quand même passé, globalement de bons moments.

6- « Vortex » de Camille Couasse et Sarah Farkas : On aimerait voir plus de séries de ce genre dans le cinéma français, c’est un thriller fantastique qui n’a rien à envier au cinéma américain, pas besoin de faire des effets spéciaux qui en mettent plein la vue ! Il suffit de quelques ingrédients : une bonne idée (merci à Franck Thilliez), une bonne réalisation et de bons acteurs ! Le reste, c’est du talent pur.

7- Hail Satan ? de Penny Lane : C’est un documentaire que je vous recommande vivement, très intéressant, instructif, avec une pointe d’humour noir qui vient mettre de la légèreté sur un sujet qui peut cristalliser les inquiétudes. Le point de vue est convaincant, et d’une bonne justesse, je pourrais presque adhérer au Temple Satanique, comme la réalisatrice l’a fait à la fin du tournage. 


Ju lit les mots

– Blog littéraire – Critiques littéraires – Co-fondatrice Prix des auteurs inconnus – Contributrice journal 20 minutes – Membre the funky geek club




Catégories :Bilans, Challenge Polars et Thrillers

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34 réponses

  1. Quel beau bilan Julie ! Bravo ! 🎉

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  2. Il est impressionnant ton bilan !

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  3. On ne chôme pas non plus 🙂

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  4. Avatar de ducotedechezcyan

    C’est un très beau bilan, une sélection qui te ressemble 🙂
    Certains de ces titres sont dans ma WL, mais à part La terre transpercée, je n’en ai lu aucun de cette liste. J’espère avoir l’occasion d’en découvrir quelques-uns bientôt.
    Est-ce que tu penses refaire ce challenge?

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  5. Wahou, un beau bilan de fin de challenge ! J’en ai lu certains et d’autres sont dans ma liste d’envies.😊

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  6. J’ai beaucoup aimé Syngué Sabour que j’ai lu suite à son obtention du Goncourt, chose que je ne faisais pas habituellement, et que je n’ai plus fait depuis.

    La série Manifeste m’a beaucoup plu, j’adore tout ce qui est en rapport avec les mondes parallèles surtout quand c’est bien fait. En plus, j’adore les happy ends sur l’écran 😀

    Bravo Julie pour cet extraordinaire bilan!

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  7. Eh bien, que de lectures, bravo ! Je vais lire les retours qui m’intéressent petit à petit 😉

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  8. Eh bien, bravo pour ce bilan très bien fourni Julie ! 👏 Il y a plusieurs titres qui me font de l’œil ici, comme La leçon du mal ou encore Paternoster (pour son ambiance). Mais surtout Ecarlate, qui a atterri dans ma pile à lire grâce à ta chronique. C’était trop tentant. 😊
    Encore bravo pour toutes ces découvertes !

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  9. Rebonjour Ju lit les mots, pour Vivarium, un des premiers films vus après le premier confinement, il m’avait marquée. Un peu traumatisant en ce qui me concerne. Bon dimanche.

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